lundi 31 mai 2010

La brocante du vide-grenier #8

70, c’est le chiffre à retenir.
C’est le nombre de disques que j’ai récolté ce week-end (ça fait lourd dans la besace).
Les années 70 c’est aussi la période d’édition de la majorité de ces disques.
Oui, c’est presque mathématique, les gens possèdent un objet (par exemple un disque, au hasard) puis le revendent 30 à 40 ans après.
On a vu comme ça, refleurir le mobilier des années 70 dans les brocantes depuis quelques années.
Enfin 70, c’est le nombre d’heures que je vais mettre à nettoyer (expliqué ici), protéger, ranger (expliquer ici) et à écouter ces fameux disques. Sans oublier la recherche discographique de certains artistes.

Quand on aime on ne compte pas.


dimanche 30 mai 2010

Adieu Denis Hopper


Je déteste sincèrement cette loi des séries ...

vendredi 28 mai 2010

Adieu Gary Coleman


Mais "Qu'est ce que tu me racontes là!" Tu vas me dire.

Malheureusement l’acteur Gary Coleman qui jouait Arnold Jackson dans la série Américaine "Arnold et Willy"(Diff'rent Strokes en VO) est décédé ce vendredi 28 mai 2010.

Une partie de notre enfance télévisuelle s'en va avec lui.

Repose enfin en paix Gary "Arnold""Colman.

Comment que c’est fait un disque vinyle ?

"Dis pépé, racontes-nous comment c’est fait un disque vinyle."

"Bien sur les enfants, et avec l’accent Québécois de surcroît !"

mercredi 26 mai 2010

Concert de METALLICA à Lyon, #2

Lille Lyon

Lyon est à trois heures de Lille en TGV, tu vas me dire c’est bien et que ta grand-mère elle, s’est acheté un grille pain.
Peut être, mais quand tu sais qu’habitant le nord de la France et que Metallica se produit au Halle Tony Garnier de Lyon le 23 mai 2010, le TGV est ton ami.
En début d’année, j’arrive à obtenir le fameux sésame, une place de concert pour aller voir Metallica à Lyon ; Hourra !!! Je remercie au passage le tonton national Zegut qui, grâce à son blog et à ses petits liens magiques m’a permis de vivre un rêve d’ado.
(Si tu connais pas Zegut, honte à toi et retrouve le sans tarder sur son blog : http://zegut.blogspot.com/ ou sur RTL2 dans son émission PopRock Station by Zegut).

Dimanche 23 au matin, je me lève tôt, bah oui y a brocante dans mon quartier, c’est pas parce qu’il y a concert qu’il n’y a pas brocante hein.
Mais mon esprit est ailleurs un peu comme la veille de partir en vacances, on a un pied ici et l’autre pied là bas, d’ailleurs j’ai récolté que cinq malheureux 45 tours, la brocante faut dire était un peu pourrie aussi…

Mon train est à 10 heures, le voyage se passe, les paysages défilent entrecoupés de somnolence et de lectures. Vu d’un TGV, la France parait bien verte et bien rurale …
J’arrive à Lyon, j’y suis déjà venu, vite fait (quelques heures) il y a 15 ans et c’est pas encore aujourd’hui que je vais faire du tourisme dans la ville.
Il fait beau, il fait chaud (si, si ça va avoir son importance) et je rejoins mon hôtel, chambre au huitième, grand lit, très bien.
Je mange vite fait deux trois bricoles, j’embarque le minimum avec moi, billet, CB, de la monnaie, le portable et let’s go !
Les chatouillis dans mon ventre commencent, c’est bon signe…
Le métro comme à Lille est automatique et relativement rapide, direction la station Debourg. Je sors du métro et là, perdu, où est la salle ?

Halle Tony Garnier

T’inquiètes, j’ai la solution, mon sixième sens me dit de suivre les
t-shirts Metallica. Y en a plein et ils vont tous dans la même direction.
Youpi ! J’arrive au Halle Tony Garnier vers 14 heures, mais pas youpi, une queue immense s’est déjà formé, y a pas moyen, si proche et pourtant si loin.

Sous le cagnard les types attendent accablés par la chaleur, la fatigue, la bière ? Certains cachés sous des parapluies ou un bout de carton, l’attente doit être horrible mais il y a bonne ambiance.
Je me décide quand même de faire un tour d’horizon et je constate qu’il y a une deuxième queue, un peu cachée car elle est coupée avec l’entrée de service, moins impressionnante et surtout ombragée par des platanes, c’est là que je me poste, trois heures trente d’attente tranquille sous mon platane (merci à toi platane) tandis que, dans l’autre queue quelques têtes tombent pour cause d’insolation.

17 heures 30 minutes les portes s’ouvrent on sent l’excitation et l’adrénaline monter ! 15 minutes plus tard, je suis dans le halle sans courir, au passage je remarque les stands "souvenirs", que de la fringue … J’arrive à me positionner sans problème à cinq mètres de la scène. C’est une scène centrale, le public peut se mettre tout autour, des gradins sont à ma gauche au loin. Mon premier flash, je vois les caisses de matos couleur blanche, au dessus est marqué en noir Metallica, y a plus de doute je suis au bon endroit, au bon moment, pour m’en remettre, je commande une bière bien fraîche (trois euros tout de même la canette) à une jeune fille un peu affolée de voir tous ces types à l’allure comment dire, originale (ça dû la changer des fans de Mozart l’opéra rock, produit quelques jours avant dans cette même salle…)
On attend encore un moment (l’attente, c’est la moitié du plaisir dit-on, oui mais papy commence à avoir mal aux jambes…) La salle, les gradins se remplissent doucement.

C’est bizarre, il y a du monde dans mon secteur, mais pas tant que ça, je m’aperçois en fait que nous sommes bloqués et coupés du reste du public par des barrières. C’est l’allée qui mène le matos et surtout les artistes à la scène, je suis donc à 5 mètres de la scène et à 5 mètres de l’allée, pour une première, je suis content.

Première partie

ENFIN la première partie commence vers 19 heures, c’est le groupe Hight On Fire et ils ont décidés de jouer que d’un seul coté. C’est un peu con quand on dispose d’une scène centrale et au côté opposé où je me trouve. Du coup on voit les gars de dos et on reçoit le son du derrière des amplis, je te laisse imaginé la bouillis sonore qui en échappe, ça ressemble à rien, sauf à une espèce de ronflement continu. Les compliments dans le public commencent à fuser. Après cinq ou six bouillies "chansons" au revoir les messieurs, merci pour mes oreilles.
15 à 20 minutes plus tard le deuxième groupe de la première partie monte sur scène, ce sera sûrement mieux vu ce que l’on a pu entendre lors de la balance des instrus pendant notre quart d’heure d’attente.
C’est le groupe Volbeat, eux ont la finesse d’optimiser la scène centrale, le chanteur/guitariste, l’autre guitariste et le bassiste vont à droite à gauche, des micros sont disposés un peu partout du coup ils monopolisent la scène entière, on les voit défiler les un après les autres, ça ressemble à un petit ballet bien rodé, mon petit doigt me dit que Metallica fera sûrement la même chose tout à l’heure…
Musicalement Volbeat ressemble à du métal tendance punk rokabilly, et c’est plutôt bien foutu en live (leurs clips sur le tube m’avait fait un peu peur ...) une bonne pêche, les mecs étaient content d’être là, le seul reproche, la batterie était dos aux estrades et à la grande fosse (les trois quart du publics, dommage pour eux) et dirigé vers nous (tant mieux pour moi).
Leur show s’arrête, ils ont mis de bonnes ondes et une bonne énergie, merci les gars.
Attente, encore et toujours, j’en profite pour étudier la configuration des lumières, tiens, les blocs de lumière ressemblent à des cercueils en métal poli, mon voisin m’explique que les fameux cercueils vont descendre et bouger pendant le show, ouhaaa délire. Des gars arrivent sur scène, certains virent le matos du groupe précèdent à toute vitesse, d’autres montent sur des échelles de corde et se positionnent au dessus de la scène, ils vont rester percher là pendant tout le concert à manipuler les poursuites (Follow Spot), leur job, éclairer les crânes des Mets pendant le show !

La balance des instrus, un mec teste la batterie de Lars Ulrich, le son te transperce d’une force et tu te dis que putain ça va faire mal…


METALLICA !

21 heures toujours rien ! 21 heures 10 encore toujours rien on scande des Metallicaaaaaaaa !!! Des ouaiiiiiiis !!! Ça devient chaud bouillant, puis, on entent la chanson de Motorhead, c’est le signal que ça va commencer, les lumières s’éteignent et Ecstasy Of Gold d’Ennio Morricone retentit, l’adrénaline explose partout, tout le monde gueule et chante à tu tête l’hymne célèbre et s’enchaîne avec That Was Just Your Life, des lasers d’un autre monde éclairent la scène, mais les copains sont toujours pas là, on entend crier, ils arrivent et PAF ! lumière qui s’allume, et juste devant moi, les METS au complet !!!
D’un coup la chaleur dans la salle est passée de 35 degrés à au moins 50 degrés et j’ai compris ce que c’était une fosse d’un concert de métal…
Comment décrire, c’est un peu comme si tu faisais du surf et tu te fais happer par une vague monstrueuse, tu pars dans tous les sens, tu évites des machins et des trucs, tu marches sur des trucs mous des trucs durs, j’essais de mater la scène mais c’est presque impossible, je me dis, si c’est comme ça pour tout le concert, je suis mal barré mais je m’amuse comme un petit fou décharge toute mon excitation et mon adrénaline, je retrouve mes 15 ans ! !!
Heureusement le corps humain a ses limites, pour les chansons suivantes ça se calmera un peu, tout petit peu seulement. Par-ci par-là des "espaces" se forment, où les gars se pogotent bien la gueule à discrétion, c’est un peu trop Fight Club à mon goût.
Je profite du pestac, je saute en rythme (à peu prés), on fait les cornes du diable (la marque des métalleux) la salle devient une étuve.
Le choix des chansons me correspond bien, c’est pratiquement des vieux machins des quatre premiers albums (j’ai découvert Metallica avec la sortie de l’album « … And Justice For All).
Je prends quelques photos avec mon portable mais le résultat est pourri, putain James Hetfield est juste là devant moi, puis c’est Robert Trujillo (ils arrêtent pas de tourner d’un micro à l’autre) mon bassiste préférer number one de tous les temps ! Je deviens une espèce de midinette … D’ailleurs je suis pas le seul, sur la chanson Wherever I May Roam on gueule tellement la chanson, qu’on entend plus le groupe (vu le niveau sonore au départ, c’est difficilement imaginable), c’est un concert de P.Bruel ou bien ?!
Puis arrive (pour moi) le tiercé gagnant One/Master/Battery, j’arrive à filmer One (ça me fera un souvenir) puis le groupe enchaîne direct sur Master Of Puppets, désolé les gars, mais j’arrête de filmer et je rejoins les copains ! Quel pied les amis ! Kirk Hammett nous fait le solo de Master juste devant, sacré énergie les mecs. Je suis qu’une transpiration et on a droit à des effets pyrotechniques qui rajoutent bien 10 degrés au 50 de la salle.


Parfois les Mets calment le jeu avec des niaiseries comme Nothing Else Matters ou Unforgiven 3, en live, ça passe bien tout de même, il y a aussi les clins d’oeils comme l’intro repris de Black Sabbath en hommage à Ronnie Dio .
Le show se termine (déjà…) Ambiance, cries, sifflements, Métallica ! Metallica ! Metallica !
Ils reviennent, re-ambiance, jouent les 3 dernières chansons, Helpless, Whiplash, Seek and destroy, le groupe fini torse poil, Robert Trujillo tournoit comme un fou fou avec sa basse, il veut s’envoler à sa maison ou quoi ?
Pendant le rappel on nous jette des gros ballons de plage couleur noir avec "Death magnetic" marqués dessus, au début le public se les rejettent les uns aux autres, on joue à la baballe quoi, mais très vite la possession prend le dessus et les types se ruent dessus pour les garder pour eux tout seul, y a même deux gars juste devant moi qui s’écharpent pour avoir un ballon, le déchirent et arrivent à avoir un bout de plastoc dans la main, ils sont contents… Un peu comme la chemise de Claude François tu vois… Et je vois la même scène avec des médiators que le groupe jette au public, c’est marrant on dirait qu’ils jettent du grain aux poules.

Les lumières sont déjà rallumées depuis pas mal de temps, mais le groupe est toujours sur scène, à remercier à dire des conneries au micro en Français accent Américain, ils donnent l’impression d’avoir pris du plaisir à jouer ce soir en France, en tout cas il semble sincère malgré les années, la renommée et la légende construite autour de Metallica, le groupe reste accessible à son public, ça fait plaisir à voir. Certains Français devraient prendre des notes.


Lyon Lille

Le retour c’est fait, entre errance des fans largués dans Lyon, monticule de cadavres de bouteilles, le métro bondé de métalleux bien silencieux et enfin l’hôtel.
Je suis un poil déshydraté et j’ai bu 2 litres de flotte en 15 minutes, puis ce silence, quoi que, pas tout à fait puisque que je m’aperçois qu’une ruche avec ses habitants s’est localisée dans chaque oreille, le bourdonnement se calme vers 4 heures du matin, levé tôt, j’ai encore plein d’images, de sons et d’ambiance dans la tête.
Le TGV est à 9 heures, je serais à Lille pour midi. Sauf que pour le retour, le train a mis 5 heures 15 minutes au lieu des 3 heures habituelles (TGV cassé, attente, changement de train, tout ça quoi…) ils ont failli gâcher mon retour les saligos !

Mais comme dit de manière très bien rodé, James Hetfield lors de ses concerts: « How does it feel to be alive ».
Très bien et merci à vous.


Set-List

La Set-List inespérée, mon seul regret All Nightmare Long et Creeping Death que j’apprécie particulièrement, n’ont pas été joué, mais ce concert magistral m’a fait redevenir petit garçon, des étoiles pleins les yeux :

That Was Just Your Life
The End Of The Line
For Whom The Bell Tolls
Through The Never
Fade To Black
Sad But True
My Apocalypse
Wherever I May Roam
The Unforgiven III
No Remorse
One
Master Of Puppets
Battery
Nothing Else Matters
Enter Sandman


Rappel:

Helpless
Whiplash
Seek and Destroy

lundi 24 mai 2010

METALLICA LYON 24 MAI 2010


Metallica concert à Lyon le 24 mai 2010 au Halle Tony Garnier.

Que dire, je ne sais pas, que c'était juste ENORME !!!
J'étais à 5 mètres de la scène environ, vue imprenable, mais c'est physique (je commence à plus avoir l’age de ces conneries moi).
Aujourd'hui je décante et j'en dirais plus prochainement.

Cadeau : une petite photo et une vidéo (One en entier) de faible qualité, prise avec mon portable.

samedi 22 mai 2010

Disque du jour #13

Voila la fin notre challenge de la semaine commenté ici.

Album lp, ERA VULGARIS de QUEENS OF THE STONE AGE.

L’artwork d’un album est pour moi très important, presque aussi important que le disque lui-même, car ils forment un tout.


Quel délice de contempler une belle pochette de disque tout en écoutant ses morceaux préférés, un petit bonheur que j’aime cultiver.
En 2007 sort en plusieurs formats d’écoute le cinquième album de QUEENS OF THE STONE AGE. Je te propose sa version en vinyle ou plutôt en 3 vinyles.




L’artwork de l’album reprend l’imagerie enfantine, non sans second degré et agrémenté de quelques photos olé olé des années 50.
La pochette est au format à l’italienne comme pour la BD par exemple, plus large que haute et s’ouvre comme un livre disque pour enfant.
Le format des disques est lui aussi très intéressant puisque nous avons droit à 3 vinyles de 25 centimètres tournant à la vitesse de 33 tours à la minute. Deux chansons par face, aucune inscription sur les labels à part un dessin et la lettre de la face.


Les disques pour enfants des années 50 et 60 étaient aussi souvent édités au format à l’italienne avec des disques 25cm 33t avec une ou deux chansons par face.
Un bel album clin d’œil et très cohérant dans sa conception.
Seules les chansons de QUEENS OF THE STONE AGE diffèrent d’un demi poil de la production enfantine de l’époque …


QUEENS OF THE STONE AGE

IPC91

Titre : ERA VULGARIS
Année : 2007
Format : LP
Titres :
Face A :
           1-TURNIN' ON THE SCREW
           2-SICK, SICK, SICK
FACE B :
           3-I'M DESIGNER
           4-INTO THE HOLLOW
FACE C :
           5-MISFIT LOVE
           6-RUNNING JOKE (bonus track)
FACE D :
           7-BATTERY ACID
           8-MAKE IT WIT CHU
FACE E :
           9-3'S & 7'S
           10-SUTURE UP YOUR FUTURE
FACE F :
           11-RIVER IN THE ROAD
           12-RUN, PIG, RUN



vendredi 21 mai 2010

Disque du jour #12

Toujours notre challenge de la semaine expliqué ici.

Album LP, ABBEY ROAD, THE BEATLES.

Collectionner les disques en vinyle des Beatles est passionnant, il y a de part le monde un tel nombre de format, d’édition, de variante, de rareté, que c’est presque impossible de tout réunir en une seule et unique collection. Une vie, de toute manière ne suffit pas. Chapeau bas pour un groupe qui n’a eu que 8 ans de carrière discographique et re-chapeau bas pour cet ultime album en guise d’adieu.


L’objet présenté est un Picture Disc de l’album «Abbey Road» initialement sorti en 1969.
Le picture disc, c’est joli et en un seul objet tu as le visuel et le son, trop class.
Mais, comment que c’est fait ?
C’est comme un sandwich sauf que là, tu ne mets ni jambon ni beurre mais deux couches de plastique transparent (pour le recto et le verso), deux feuilles de papier imprimé et une belle couche de vinyle noir entre les deux feuilles. Tu presses le tout dans une presse à disque (100 tonnes de pression ! Attention lapin ! Ne mets pas tes mains, tu risques de te faire pincer très fort) pour assembler et souder, tu as maintenant un joli Picture Disc.


THE BEATLES

5C P062-04243

Titre : ABBEY ROAD
Année : Ed original 1969, Réédition de 1979.
Format : LP
Titres :
Face A :
           1-COME TOGETHER
           2-SOMETHING
           3-MAXWELL'S SILVER HAMMER
           4-OH! DARLING
           5-OCTOPUS'S GARDEN
           6-I WANT YOU (SHE'S SO HEAVY)


Face B :
           1-HERE COMES THE SUN
           2-BECAUSE
           3-YOU NEVER GIVE ME YOUR MONEY
           4-SUN KING
           5-MEAN MR. MUSTARD
           6-POLYTHENE PAM
           7-SHE CAME IN THROUGH THE BATHROOM WINDOW
           8-GOLDEN SLUMBERS
           9-CARRY THAT WEIGHT
           10-THE END
           11-HER MAJESTY

MADE IN NETHERLANDS.


jeudi 20 mai 2010

Disque du jour #11

Poursuivons notre challenge de la semaine expliqué ici.

Un EP 45 tours du groupe Californien skate punk, heavy, funk métal, SUICIDAL TENDENCIES.


Hier nous avons vu les pochettes de disques découpés (ici),
aujourd’hui, le disque couleur découpé (on arrête pas le progrès).
Il est aussi appelé « vinyl-shapes » ou disque « shaped ».
Sa particularité c’est qu’il peut prendre toutes les formes sauf … le cercle.


SUICIDAL TENDENCIES

34-74868-s1

Titre : I’LL HATE YOU BETTER
Année : 1993
Format : EP (expliqué ici)
Titres :
Face A :
           I’LL HATE YOU BETTER (Muir-Clark)
           MANDATORY LOVE SONG (Muir)
Face B :
           JUST ANOTHER LOVE SONG (Muir-George-Clark)
           WON’T FALL IN LOVE TODAY (Muir-Mayorga)

MADE IN US.


mercredi 19 mai 2010

Disque du jour #10

Poursuivons notre challenge de la semaine commenté ici.

Album lp, DARK SIDE OF THE MOON des PINK FLOYD.

On ne présente plus ce groupe Anglais ni cet album devenu au fil du temps mythique.


La particularité de l’objet présenté, c’est que le disque est de couleur blanc, bleu et transparent, la pochette ouvrante, dite « gatefold », a un trou circulaire (sauf le verso de la pochette).
Tu vas me dire, why pourquoi un gros trou dans une pochette? C’est pas de l’emmental saperlipopette.
Non non, mon lapin (oui, aujourd’hui encore, je t’appel mon lapin, mais t’inquiet’ ça me passera…), c’est qu’ en 1978, Pathé Marconi décida d’éditer des albums avec le disque en couleur.
Des albums des Beatles, Queen, Deep Purple, Patti Smith, Stevie Wonder et d’autres, sont réédités avec le disque vinyle en couleur. Certains de ces albums ont même été édités avec un trou dans la pochette pour faire apprécier au futur acquéreur la belle beauté de la couleur sur un disque.


Certains affirment que ces albums avec trou dans la pochette étaient destinés à la promotion du disque. Ils étaient hors commerce et donnés au disquaire pour la publicité.
J’en doute un peu, ayant discuté avec des personnes qui ont vécu "l’événement", ils m’ont tous affirmé que les albums sans trou côtoyaient ceux avec trou dans les bacs de disque, ils y en avaient certes moins, mais ils étaient aussi en vente.
Je lance donc un appel, si des personnes ont des précisions à apporter sur ces fameux albums couleurs avec trou dans la pochette, n’hésitez pas à me laisser un commentaire en bas du post.


PINK FLOYD

DC 13
C 068-05.249


Titre : THE DARK SIDE OF THE MOON
Année : Ed original 1973, Réédition de 1978
Format : LP
Titres :
Face A :
           1-SPEAK TO ME (Mason)
           2-BREATHE (Waters-Gilmour-Wright)
           3-ON THE RUN (Waters-Gilmour)
           4-TIME (Waters-Mason-Gilmour-Wright)
           5-THE GREAT GIG IN THE SKY (Wright)


Face B :
           1-MONEY (Waters)
           2-US AND THEM (Waters-Wright)
           3-ANY COLOUR YOU LIKE (Gilmour-Mason-Wright)
           4-BRAIN DAMAGE (Waters)
           5-ECLIPSE (Waters)

SACEM


mardi 18 mai 2010

Disque du jour #9

Continuons notre challenge de la semaine expliqué ici.

Un maxi 45 tours du groupe Américain de punk/heavy/rock,
FOO FIGTHERS.


Bon, déjà son format, un maxi 45, qu’est ce ?
C’est bien simple mon lapin (oui t’es mon lapin aujourd’hui), c’est un disque vinyle de 30 centimètres tournant à la vitesse de 45 tours à la minute.
Utilisé par le DJ (Disc-Jockey, lapin) dans les années 70, il était plus pratique à manier qu’un disque de 17 centimètres et surtout on pouvait mettre des chansons plus longues voir remixées. Les sillons du disque étant plus espacés, le son du disque est plus puissant. C’était le format idéal pour la mode Disco et des boites de nuit des années 70.


Le maxi 45 continua son bonhomme de chemin dans l’univers de la musique électro et aussi dans les autres univers musicaux sous forme d’objet collector.
Et oui lapin, le maxi 45 tours est un bel objet pour le collectionneur de disque parce qu’il a la qualité de proposer souvent en tirage limité, des pochettes et des chansons inédites, en version longue (extented song), remixé, en live, en démo, sur un format de 30 cm.

La particularité de ce Maxi de FOO FIGTHERS c’est primo, le disque est en couleur et il est PHOSPHORESCENT ! Oui mon lapin, le disque, quand il fait tout noir dans la pièce, ben lui il s’illumine comme un ver luisant ! Perso je trouve ça "total déglingos".
Secondo, on a droit sur ce Maxi à une chanson inédite en plus ;"PODUNK".


FOO FIGHTERS

7243 8 82246 0 4

Titre : THIS IS A CALL
Année : 1995
Format : MAXI 45 TOURS
Titres :
Face A : THIS IS A CALL (D. Grohl)
Face B : WINNEBAGO (D. Grohl/G. Turner)
               PODUNK (D. Grohl)


MADE IN THE UK.



lundi 17 mai 2010

Disque du jour #8

Voici le premier disque du jour du challenge de la semaine, proposé ici.


Commençons léger, par un 45 tours sp de STEREO groupe Français de musique électronique composé de Michael Billes et Terry Noritop.
Produit par Bernie Adam et Terry Noritop.

Disque plutôt difficile à trouver et assez recherché. Son grand frère en maxi 45 tours, atteint des sommes #@#&% sur internet et les conventions de disques.
J’ai pas réussi à choper la musique de la face B du 45t preuve qu’il est pas évident à trouver (pas cherché des masses non plus …)


STEREO

CA 171
49 927


Titre : SOMEWHERE IN THE NIGHT
Année : 1982
Format : SP
Titres :
Face A : SOMEWHERE IN THE NIGHT (B. Adam/T. Noritop)
Face B : STEREOMANIA (B. Adam/T. Noritop)

SACEM


Challenge

Semaine spéciale disque !

Je vais essayer chaque jour de cette semaine (jusqu’à samedi) de te présenter un disque vinyle dans un format et style différent.
Attention, à vos marques !
Prêts ?

vendredi 14 mai 2010

Entretien #2

Apres l’écoute de ton disque préféré (ou pas), une question vient te caresser l’esprit : C’est bien beau de chiner le disque vinyle, de le nettoyer avec le plus grand respect, de l’écouter avec amour, mais après, qu’est ce que l’on en fait de ce disque ? On l’oublie dans un recoin poussiéreux de ta pièce ? On le jette ? On le donne à manger à des cochons ? Rien de tout cela malheureux/euse !!!
Tu remets ton disque vinyle dans sa pochette intérieure en papier appelée aussi "inner sleeve", et dans sa belle pochette en carton.
Si t’es collectionneur et que tu prends soin de tes trésors tu peux aussi protéger la pochette en carton en la glissant dans une pochette plastique (une histoire de pochette quoi…)
Le disque vinyle (33t et 45t) est rangé verticalement (ne fait pas des piles de disques à l’horizontal, c’est le meilleur moyen de voiler les disques et d’écraser les pochettes) et légèrement serré comme on le fait avec des livres dans une bibliothèque.


Pour le disque 45 tours tu peux le mettre dans des bacs de contenance de 100 disques au maximum.

mardi 11 mai 2010

La brocante du vide-grenier #7

Ca y est, c'est la pleine saison des brocantes, tous les week-end, hop c'est parti, très tôt le matin, la besace en bandoulière, je chine le petit trésor parmi les tonnes et les tonnes de trucs et de machins et j’en suis sur, il y a certains exposants qui ne font pas la différence entre brocante et décharge des encombrants…
Tranquillement, je me suis fait trois (très) petites brocantes samedi et dimanche.
Si j’additionne les exposants des trois brocantes, j’arrive à grand’ peine à cinquante exposants, moi qui suis souvent habitué à des vides greniers allant de 200 à 800 exposants j’ai eu un peu peur quand même de revenir bien bredouille.
Et ben que nenni! Comme quoi et je le dis toujours, la quantité (des exposants) n’est pas en rapport avec la qualité (des objets chiné).

Une trentaine de disques, soit une dizaine d’albums 33t (dont un Beatles OSX 225 label orange) et une vingtaine de 45t de toutes époques.
Un cendrier St Raphaël des années 40, signé "Jacfer Longwy".
Un métronome de la marque "Maelzel Paquet" assez ancien.
Une vieille photographie d’époque entre 1870 et 1890 avec son cadre en pitchpin et filet en bois noirci.



vendredi 7 mai 2010

La Malle Aux Petits Trésors #1


Pour inaugurer un nouveau chapitre du blog et pour surfer sur le papier précédant, je te sors de ma malle aux trésors, des matrices d’imprimerie qui ont servies à faire la publicité de la sortie en salle du film de Sam Peckinpah : "La Horde sauvage".
L’imprimeur recevait les plaques, gravées à l’envers pour l’impression et les publicités se retrouvaient à illustrer les magazines et les journaux de l’époque.





Et hop, un petit coup de Photoshop vite fait pour voir ce que cela peux donner façon "imprimé".


N’hésites pas à cliquer sur les images pour les voir en plus grandes.

jeudi 6 mai 2010

Monsieur Cinéma #6

LA HORDE SAUVAGE ; THE WILD BUNCH



Année : 1969
Réalisateur : Sam Peckinpah
Pays d’origine : Etats-Unis
Format : DVD

J’aime :
- Le scorpion, les fourmis rouges et le feu.

- Le regard des enfants sur les adultes, tout le long du film.

- La lassitude des héros.

- Le bébé, le sein et les cartouches en bandoulière.

- L’attaque du train, silence, couleurs mates, contrastées, chaleur, la respiration du train, seul le rythme des images nous conte l’aventure.

- « Let’s go ».

- Le carnage anthologique du chapitre final nous résume bien que les armes à feu, c’est pas bien.

- La réflexion sur la liberté.

Affiche ici

mardi 4 mai 2010

Disque du jour #7


DEPECHE MODE

VG 108
101558


Titre : JUST CAN’T GET ENOUGH
Année : 1981
Format : SP
Titres :
Face A : JUST CAN’T GET ENOUGH (V. Clarke)
Face B : ANY SECOND NOW (V. Clarke)

SACEM


Ce disque a une place toute particulière dans mon cœur, c’est le premier disque de ma collection que j’ai acheté lors de ma toute première brocante, il y a 18 ans …
Il m’avait coûté 10 francs à l’époque.